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Economie - Éthique Média Gabon

Economie

Haut-Ogooué : Sequoia plantations face au rejet des populations malgré l’opportunité d’emplois présentée?

Haut-Ogooué : Sequoia plantations face au rejet des populations malgré l’opportunité d’emplois présentée?

La Société Sequoia plantations, filiale de Gabon spécial económico zone(Gsez), et ses partenaires ambitionnent d’implanter des géantes plantations de la monoculture eucalyptus dans la province du Haut-Ogooué, sur une superficie de près de 80.000 hectares divisée en trois pôles, dont ceux des plateaux Batekes (Leconi) et Djouri agnili(Bongoville). Cependant, malgré des bonnes promesses d’emplois et autres avantages qui pourraient en découler, le projet poserait problème et semble ne pas bénéficier de l’assentiment du plus grand nombre des populations autochtones.

Pourtant prometteur d’emplois et de bien autres avantages socio-économiques, Sequoia plantations, filiale de Gsez, et son projet d’implantation d’un vaste champ d’eucalyptus à Bongoville et Léconi semblent ne pas être les bienvenus.

En effet, bien que déjà visible sur le terrain grâce à un important investissement déjà réalisé dans le département des plateaux (Léconi), précisément dans la zone dite Kandouo (L’eau claire), notamment avec la mise sur pied de la pépinière d’eucalyptus, la préparation d’espaces pour des champs d’expérimentation, l’électrification de la zone, la construction d’une base vie, la construction encours d’une centrale de Pompage d’eau pour l’arrosage des plantes, entre autres, Sequoia semblerait avoir mis la charrue avant les bœufs, et passée outre le protocole légal et procédurale, qui permettrait la mise sur pied d’un projet de telle envergure, avec des possibles impacts environnementaux et socioéconomiques.

Ce serait d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles, selon certains fils des plateaux défenseurs de leurs terres, ce projet continue de faire l’objet d’une forte contestation de la part de la majeure partie de la population des plateaux, qui demandent à être suffisamment édifiée quant aux différentes et graves conséquences qui pourraient découler de la culture de ces arbres importés.

Ceci, malgré le premier “simulacre” des consultations publiques, entamées le 31 juillet 2023 au Gouvernorat de Franceville, entre le promoteur Sequoia et les populations Téké, impactés par ce projet.

Rappelons à toutes fins utiles que, pour l’exécution de ce projet, la Société Sequoia aurait bénéficié de l’autorisation d’exploiter cette partie de la province du Haut-Ogooué sur ses 2/3.

Cette autorisation d’exploitation lui aurait été donnée pour une durée de près de 100 bonnes années, soit précisément 99 ans, par l’ancien ministre des Eaux et forêts, chargé du plan d’affectation des terres.

Une concession que les populations, qui d’ailleurs n’auraient préalablement pas été consultées, ne sont pas prêtent à accepter, et estiment qu’un tel accord viserait une vente voilée de leur patrimoine ancestral, l’assèchement de celui-ci, son appauvrissement, et donc l’exposition de la population à la famine. Ces terres étant leur première richesse naturelle.

Vivement que les nouvelles autorités du pays se saisissent de cette affaire, pour établir un équilibre au profit de tous. Car, un projet d’envergure nationale pour le développement du pays c’est bien, mais l’ arrimer aux réalités et aspirations des populations autochtones c’est encore mieux.

Baie des Rois : encore un prix à Cannes en France

Baie des Rois : encore un prix à Cannes en France

Organisé du 14 au 17 mars 2023 à Cannes en France, dans l’optique de récompenser les projets en cours de développement dans le monde, le concours international dédié à l’immobilier a donné les noms des meilleurs projets de cette année. La Baie des Rois y figure et a remporté le prix Best New Mega Development.

Deux prix en une seule année. Après le prix du meilleur projet infrastructure durable pour sa démarche éco-responsable à Paris en France en février dernier, la Baie des Rois vient de remporter un autre prix.

Cette fois-ci, c’est le prix New Mega Development, remporté à Cannes en France, lors du concours international réservé à l’immobilier dans le monde.

Celui-ci s’est déroulé du 14 au 17 mars 2023 à Cannes en France, avec l’objectif de récompenser les meilleurs projets en cours de développement dans le monde.

Cette unième récompense pourrait permettre aux autorités gabonaises d’accélérer les travaux de cette zone gérée par la Façade maritime du champ triomphal (FMCT), filiale du Fonds gabonais d’investissement stratégique (FGIS), qui prévoit la construction à Libreville d’un éco-quartier d’affaires, de logements, d’établissements de loisirs, de commerces divers et d’espaces verts… sur une superficie de 40 hectares.

CWO

Pénurie de pièces de monnaies en zone CEMAC : la BEAC passe la commande de 150 millions

Pénurie de pièces de monnaies en zone CEMAC : la BEAC passe la commande de 150 millions

Le 27 mars dernier, s’est tenue à Yaoundé au Cameroun, la conférence de presse qui a sanctionné la première session du Comité de politique monétaire de la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC) de l’année 2023. Au cours de celle-ci, le gouverneur de ladite institution, Abbas Mahamat Tolli, a annoncé la commande de 150 millions de pièces de monnaie afin de faire face à la pénurie observée en zone CEMAC.

Depuis plusieurs mois déjà, les pièces de monnaie se font rares sur le marché de la zone CEMAC. Une pénurie qui, selon certaines sources, est dûe à une pratique frauduleuse autour des pièces de monnaie. On parle notamment de leur exportation vers un pays d’Asie, aux fins de fabrication de bijoux.

C’est donc dans l’optique d’approvisionner cette sous-région d’Afrique en pièces de monnaie, que le gouverneur de la CEMAC, Abbas Mahamat Tolli, a indiqué le 27 mars dernier, lors d’une conférence de cette entité sous régionale tenue à Yaoundé au Cameroun, qu’une commande de 150 millions de pièces de monnaie a été lancée.

Aussi, pour lutter contre la probable exploitation frauduleuse de ces pièces de monnaie, tel que susmentionnée, la BEAC serait en pleine réflexion pour aboutir au choix d’un éventuel nouvel alliage et des signes à poser sur ces pièces, afin de décourager les réseaux faisant dans le trafic de celles-ci.

Transport ferroviaire : les trains voyageurs reprendront des demain

Transport ferroviaire : les trains voyageurs reprendront des demain

Après trois mois de suspension dûe au glissement de terrain survenu le 24 décembre 2022 sur le réseau ferroviaire, la Société d’exploitation du trans-gabonais vient d’annoncer la reprise du trafic voyageurs dès ce jeudi 30 mars 2023, après l’accord obtenu des autorités gabonaises.

Le 24 décembre 2022, un glissement de terrain avait eu lieu sur le chemin de fer et conduit la société d’exploitation du trans-gabonais(SETRAG) a suspendre le trafic.

Avec l’aide de plusieurs partenaires dont l’État gabonais, la Comilog, le ministère des travaux publics et l’Autorité de Régulation des transports ferroviaires, d’importants travaux avaient été lancés pour la réhabilitation en toute sécurité de la partie accidentée.

Plus de trois mois après, lesdits travaux ont été réceptionnés par les autorités le 4 du mois en cours, après une période de tests, à l’aide des trains de fret, qui se sont montrés concluants. Aboutissant ainsi à l’obtention de l’accord des autorités compétentes pour la reprise du trafic voyageurs.

Par conséquent, la Société d’exploitation du trans-gabonais (SETRAG) a annoncé ce mercredi 29 mars 2023, via un communiqué de presse, la reprise du trafic des trains voyageurs dès demain jeudi 30 mars 2023, selon le programme ci-après :

Sens owendo – Franceville :

Mardi: départ à 12h30 du train Express ;

Jeudi: départ à 14h00 du train omnibus;

Vendredi: départ à 18h00 du train Express ;

Dimanche départ à 20h00 du train omnibus.

Sens Franceville – Owendo :

Mardi: départ à 12h00 du train omnibus ;

Jeudi: départ à 12h00 du train Express

Samedi: départ à 10h00 du train omnibus

Dimanche: départ à 12h00 du train Express

Cependant, la société exploitant le chemin de fer gabonais tient à remercier tous ses partenaires pour les efforts multiformes fournis pour la réhabilitation de la voie ferrée. Mais aussi, l’ensemble de ses usagers pour la confiance.

UNO

CEMAC : la Beac désormais autorisée à mettre en circulation les nouvelles pièces de monnaie

CEMAC : la Beac désormais autorisée à mettre en circulation les nouvelles pièces de monnaie

Le Conseil d’administration de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac), dont les pays membres sont le Cameroun, le Congo, le Gabon, le Tchad, la République Centrafricaine et la Guinée-Équatoriale, a reçu le 15 mars dernier l’autorisation de mettre en circulation les nouvelles pièces de monnaie dans la zone Cemac. Une autorisation reçue lors de la rencontre circonstancielle tenue à Yaoundé au Cameroun.

Après la sortie et la mise en circulation de la nouvelle gamme de billets, il y a quelques mois en arrière, le Comité ministériel de l’Union monétaire de l’Afrique centrale (Umac) a autorisé la fabrication et la mise en circulation de la nouvelle gamme de pièces de monnaie dans la zone Cemac.

 » Le Comité ministériel du 15 mars 2023 a autorisé la création d’une nouvelle gamme des pièces conformément aux préconisations formulées par la Beac », a-t-on pu lire du communiqué final ayant sanctionné la rencontre de Yaoundé.

Pour l’heure, la date du début de cette mise en circulation n’a pas encore été rendue officielle. Cependant, l’effectivité de cette mise en circulation devrait résoudre le problème de pénurie de pièces de monnaie observé depuis un moment sur le marché.

Industrialisation des pays africains entre 2010 et 2021: le Gabon classé 12e devant la Côte d’Ivoire et le Ghana

Industrialisation des pays africains entre 2010 et 2021: le Gabon classé 12e devant la Côte d’Ivoire et le Ghana

Si l’émergence à l’horizon 2025, tant promise par plusieurs Chefs d’Etats africains, tarde à se dessiner, l’industrialisation de des pays africains quant-à elle semble progresser à grand pas. D’après l’Agence Ecofin, le classement des pays africains les plus industrialisés entre 2010 et 2021 est désormais connu. De celui-ci, le Gabon occupe la 12e place continentale devant la Côte d’Ivoire et le Ghana.

Le classement des pays africains les plus industrialisés entre 2010 et 2021 a récemment été rendu officiel.

Selon le confrère de l’Agence Ecofin, ce classement a pris en compte plusieurs critères pour permettre à chacun de ces pays d’ être classifié.

Parmi ceux-ci, compte les progrès notables en matière de stabilité, la forte proportion de jeunes dans diverses activités, la hausse des investissements domestiques et étrangers et, l’évolution rapide vers un espace économique intégré grâce à la Zlecaf, qui est une opportunité pour créer un marché unique de 1,3 milliard de personnes et de générer jusqu’à 4000 milliards de dollars américains de dépenses.

Cependant, le classement de l’Agence Ecofin donne ces premières places à l’Afrique du Sud, le Maroc, l’Égypte et la Tunisie. La Côte d’Ivoire et le Ghana, quant-à eux, occupent respectivement la 13e et 14e place derrière le Gabon qui lui, est classé 12eme du lot.

Pour rappel, un pays dit industrialisé ou en voie d’industrialisation est un pays qui privilégie l’investissement et le développement industriel par rapport à d’autres secteurs.

 

 

CWO

Ministère des Mines : vers une création d’une brigade minière

Ministère des Mines : vers une création d’une brigade minière

Le 20 février dernier, le projet du décret portant création d’une Brigade minière a été adopté en Conseil des ministres, dans le but de répondre à la nécessité de doter l’administration en charge des Mines d’une unité opérationnelle permanente pour mener toute investigation ou enquête en matière minière.

Le Gabon est sur le point de mettre sur pied une Brigade minière. C’est du moins ce qui ressort du dernier Conseil des ministres.

En effet, selon le texte validé en Conseil des ministres, ladite Brigade sera composée des services techniques et des services déconcentrés, afin de dynamiser le développement des projets miniers de grande envergure tels que le site d’exploitation du fer de Belinga dont, l’exploitation créera plusieurs emplois et réduira le taux du chômage au Gabon.

Pour rappel, le secteur minier au Gabon, c’est environ 6 % du PIB, 6,4 % des exportations du pays et emploie plus de 2.000 personnes. En d’autres termes, si ce projet de décret est concrétisé comme défini dans les textes, celui-ci pourrait donner un souffle nouveau à l’économie gabonaise.

Ministère des Mines: vers la création d’une brigade minière

Le 20 février dernier, le projet de décret portant création d’une Brigade minière a été adopté en Conseil des ministres, dans le but de répondre à la nécessité de doter l’administration en charge des Mines d’une unité opérationnelle et permanente pour mener à bien toute opération d’investigation ou d’enquête en matière minière.

Le Gabon est sur le point de mettre sur pied une Brigade minière. C’est du moins ce qui ressort du communiqué final du dernier Conseil des ministres, qui a eu lieu hier, lundi 20 février 2023.

En effet, selon le texte sous et adopté en Conseil des ministres, la Brigade minière sera composée des services techniques et des servicesdéconcentrés. L’un des objectifs de la création de celle-ci est la dynamisation du développement des projets miniers de grande envergure, à l’exemple du site d’exploitation du fer de Belinga dont, l’activité créera plusieurs emplois et réduira sans doute le taux du chômage au Gabon.

Pour rappel, le secteur minier au Gabon, c’est environ 6 % du PIB, 6,4 % des exportations du pays. Aussi, le minier au Gabon, c’est plus de 2.000 personnes employées.

Ainsi donc, si ce projet de décret venait à être promulgué et mis en pratique, comme défini dans les textes, celui-ci pourrait donner un souffle nouveau à l’économie gabonaise, au regard de l’apport de ce secteur dans le PIB national.

CWO

Formation professionnelle : deux Centres ont provisoirement été livrés à Nkok

Formation professionnelle : deux Centres ont provisoirement été livrés à Nkok

Dans le cadre du projet de construction et du renforcement des capacités d’accueil des établissements scolaires d’enseignement général et professionnel au Gabon, deux centres de formation d’enseignement professionnel ont été réceptionnés, le vendredi 10 février 2023, par le ministre en charge de ce secteur, M. Raphaël Ngazouzé. L’un spécialisé dans les technologies de l’information et de la communication (TIC) et l’autre dans le domaine des BTP et du bois.

Une vue de l’un des bâtiments des centres de formation et d’enseignement professionnel TIC et BTP/BOIS de Nkok ©Prodece

Après les centres multi-sectoriels de formation et d’enseignement professionnel de de Ntchengue à Port-Gentil, de Nkok à Essassa, et celui de Mvengue, à Franceville, en service depuis plus d’une année déjà avec des formations variées, le tour est revenu aux Centres de Formation et d’enseignement professionnel (CFEP) en TIC et au BTP/BOIS d’être provisoirement livrés.

Ceci, en présence du ministre de la Formation professionnelle, Monsieur Raphaël Ngazouzé.

Pour cette réception provisoire, on parle d’un restaurant, d’une infirmerie et des installations sportives, livrés le vendredi 10 février 2023 au CFEP TIC et à celui du BTP/BOIS.

Vue de l’extérieur de l’un des bâtiments des centres de formation et d’enseignement professionnel TIC et BTP/ BOIS © Prodece

Ces deux structures de l’enseignement professionnel visent la formation et l’autonomisation des jeunes pour et dans le monde du travail. Elles sont tous deux localisables dans la Zone économique spéciale de Nkok(ZES)

Signalons au passage, qu’après le rituel de réception partielle de ces structures par le membre du gouvernement en charge de celles-ci, en présence de Celestine Bâ Oguewa, responsable de la Task Force Ouverture des centres de formation, les clés des bus du transport du personnel ont solennellement été remises aux Directeurs, récemment nommés, de ces deux établissements d’Enseignement professionnel.

Cependant, il est judicieux de rappeler que ces deux joyaux architecturaux dédiés à la formation des jeunes, constituent un argument de plus, allant dans le sens de démontrer que le gouvernement de la République semble résolument engagé dans la professionnalisation et la formation des jeunes gabonais dans des métiers et secteurs clés, pour tenter de régler la problematique de l’inadéquation formation-emploi qui constitue un véritable problème pour les jeunes diplômés.

Vivement que ceux-ci soient vite et bien équipés pour être prêts à accueillir des jeunes postulants d’ici à la rentrée prochaine. Mais surtout, que tout soit mis en œuvre pour éviter, à chaque fois,m d’interrompre les cours pour tel ou tel autre motif qui pourrait être à l’origine d’une potentielle grève.

UNO

Employabilité au Gabon: “la lutte contre le chômage est une question qui concerne tout le monde”, déclarait Madeleine Berre

Employabilité au Gabon: “la lutte contre le chômage est une question qui concerne tout le monde”, déclarait Madeleine Berre

Hier jeudi 09 février 2023, le ministre de l’Emploi, Madeleine Berre, rencontrait la Fédération des entreprises du Gabon (FEG). Elle en a profité pour rappeler à ces hommes et femmes d’affaires, présents à cette rencontre, l’intérêt de mettre les bouchons doubles pour lutter contre le chômage au Gabon.

La problématique du chômage au Gabon continue d’inquiéter, aussi bien les populations, que les gouvernants.

En effet, le jeudi 09 février 2023 dernier, le ministre de l’Emploi, Madeleine Berre, a eu une séance de travail avec la Fédération des entreprises du Gabon (FEG).

À cette séance de travail, il était question, pour la patronne de l’emploi au Gabon, de présenter aux chefs d’entreprises, venus pour la circonstance, les réformes initiées par le gouvernement pour faciliter l’accès à l’emploi, d’une part. D’autre part, il était question pour les parties prenantes d’échanger sur la lutte contre le harcèlement et les discriminations en milieu professionnel.

Ainsi, concernant le premier point évoqué, donc celui concernant le chômage en terre gabonaise, Madeleine Berre a rappelé aux chefs d’entreprises présents à la réunion, l’importance de lutter contre ce fléau. Le chômage qui, de jour en jour, gagne du terrain.

(…) la lutte contre le chômage est une question qui concerne tout le monde”, a rappelé Madeleine Berre, ministre gabonais de l’Emploi, aux partenaires chefs d’entreprises gabonais.

Cependant, il est important de souligner qu’au-delà de la capacité qu’a certaines entreprises d’employer les gabonais en quantité limitée, il serait important de rappeler qu, en matière d’employabilite, de création des richesses et d’emplois, le gouvernement devrait davantage créer des mécanismes qui permettraient aux uns et aux autres d’investir facilement pour au finish, parvenir à la création d’emplois et, par ricochet, de lutter contre ce phénomène grandissant qui est le chômage.

CWO