Politique
Esther Miracle : Alain Claude Bilie-By-Nze, très attendu pour une importante communication à 13h00
Le Premier ministre, Alain Claude Bilie-By-Nze, fera une communication, ce vendredi 17 mars 2023, en rapport avec le naufrage du navire Esther Miracle, survenu le 09 mars dernier au large des côtes gabonaises, et qui a endeuillé le pays tout entier.
Les autorités gabonaises semblent déterminer à faire la lumière sur l’affaire du naufrage du navire Esther Miracle, survenu le 09 mars dernier au large des côtes gabonaises.
En effet, après la suspension de certains responsables de la Marine marchande et l’interpellation de certains compatriotes, qui pourraient avoir une part de responsabilité dans ce drame, le Premier ministre Chef du Gouvernement, Alain-Claude Bilie-By-Nze, fera une importante communication dès 13h00, a l’immeuble Arambo.
À noter que cette communication du Premier ministre sera particulièrement axée sur l’administration du transport maritime, étant directement lié au malheur qui frappe actuellement le petit, au regard de ses missions.
Ainsi, selon certaines sources proches du pouvoir, Alain-Claude Bilie-By-Nze rendra public l’ensemble des décisions prises par le gouvernement gabonais contre les responsables et les entités qui se seraient rendus coupables de ce drame, qui a fait plusieurs morts et une quinzaine de disparus en haute mer.
Dans tous les cas, l’issue de cette communication du Chef du gouvernement gabonais nous en dira davantage.
CWO
Politique: Ali Bongo Ondimba convoque un Conseil des ministres ce vendredi 03 mars 2023
Le One Forest Sommit bouclé, Ali Bongo Ondimba convoque l’ensemble des Ministres présents sur le territoire national à une réunion, qui aura lieu ce vendredi 03 mars 2023 sous sa direction.
La salle habituelle des Conseils des ministres de la présidence de la République gabonaise accueillera les membres du gouvernement présents sur le territoire national pour une séance de travail, sur convocation du président de la République, Ali Bongo Ondimba.
C’est ce vendredi 03 mars 2023 à 10h30 que se tiendra ce Conseil des ministres au palais du bord de mer.
Convoqué un jour après la tenue du One Forest Sommit, un sommet international sur la protection des écosystèmes de la planète, co-organisé par le Gabon et la France, on pourrait sans doute penser qu’une partie de cette séance de travail, entre Ali Bongo Ondimba et ses Ministres, reposera sur ce point et présentera au peuple gabonais l’autosatisfaction de l’exécutif pour avoir relevé le défi de la tenue de cet événement environnemental aux enjeux mondiaux.
Le compte rendu de ce Conseil des ministres sera certainement fait ce soir par le Porte-parole du Gouvernement.
UNO
Planète verte: la forêt gabonaise séquestre en moyenne 100 millions de tonnes de carbone par an
Le “On Forest Sommit” se tient à Libreville au Gabon depuis hier mercredi 1er mars 2023. Lors de la conférence de presse circonstancielle, animée par le ministre gabonais du Commerce et Porte-parole du gouvernement, Yves Fernand Manfoumbi, présentant les enjeux de cet événement environnemental, ce dernier a indiqué que la forêt du Gabon séquestre en moyenne 100 millions de tonnes de carbone par année.
Faisant suite au démarrage de l’événement environnemental le plus attendu de ce mois de mars par des nombreux chefs d’Etats et gouvernements, la conférence de presse animée, hier mercredi 1er mars 2023, par Yves Fernand Manfoumbi, ministre du Commerce et Porte-parole du gouvernement, a été l’occasion pour ce dernier d’évoquer un certain nombre de points autour des enjeux de ce sommet, mais aussi de l’apport du Gabon dans la protection de l’environnement.
Parmi les enjeux dudit sommet relevés lors de ce rendez-vous avec la presse, on note celui en rapport avec les conséquences positives qu’engendre le Gabon dans son engagement à protéger ⅓ de ses richesses naturelles pour le bien-être de la planète.
À cet effet, Yves Fernand Manfoumbi a indiqué que la forêt du Gabon, logée au cœur du bassin du Congo-Ogooué, séquestre en moyenne “100 millions de tonnes de carbone par an”, contribuant ainsi à la régulation du climat dans le monde.
C’est là, une importante quantité de carbone qui facilite et permet la réalisation normalement et régulière de la photosynthèse chez les plantes. Et, permet l’échange des gaz entre l’homme et la forêt. Un échange pour lequel le premier cité libère le dioxyde de carbone pour les plantes et le deuxième en fait de même pour l’oxygène, vital pour l’Homme.
Ceci étant, il serait vivement souhaitable que les populations gabonaises qui, de façon directe ou indirecte, participent dans leur ensemble à cette protection de la forêt à travers le territoire national, dont 88% de celui-ci, bénéficient concrètement des retombées issus de cet effort collectif et national.
CWO
Politique: la popularité de Davin Akouré serait-elle en baisse pour avoir participé à la Concertation politique?
Nommé coprésident à l’occasion de la Concertation politique, qui s’est tenue à Libreville, au Gabon, du 13 au 23 février dernier, entre les acteurs politiques de l’opposition et ceux de la majorité, pour poser les jalons des élections politiques aux lendemains apaisés, le député de “Les démocrates”, parti politique de l’opposition, Davin Akouré, pourrait bientôt voir brutalement chuter sa cote de popularité auprès de certains compatriotes qui, jusqu’à un passé récent, lui vouaient toute leur estime.
C’est ce que pensent actuellement plusieurs gabonais apres avoir vu le l’honorable Akure Davin, député de l’opposition, présider pendant 10 jours, au côté d’Alain Claude Billie-By-Nzé, les travaux de la Concertation politique pour des lendemains électoraux apaisés.
C’est le cas de l’ancien Porte-parole du Parti démocratique gabonais(PDG), Jo Dioumy Moubassango.
Pour ce dernier, Akouré Davin aurait perdu en autorité auprès des populations, pour avoir pris part à cette Concertation politique initiée par Ali Bongo Ondimba.
Car, très connu et apprécié par une grande partie du peuple gabonais, de par ses prises de position et ses interventions sans filtres et réalistes en vers le pouvoir en place, il semble difficile pour d’aucuns de comprendre qu’il ait finalement accepté de collaborer avec le pouvoir qu’il a toujours foncièrement qualifié d’incompétent.
On se souviendra que lors de la présentation de politique générale du premier ministre, Alain Claude Billie-By-Nzé, face aux députés, le tranchant homme politique de l’opposition, qui a toujours donné l’impression d’être du côté du peuple opprimé, au regard de ses positions, n’avait pas hésité de charger le pouvoir, via le chef du gouvernement.
Ce qui l’aurait davantage incrusté dans le cœur des gabonais, en leur redonnant une lueur d’espoir. Car, parvenait-il à porter haut la voix du peuple inaudible.
La question à se poser actuellement pourrait être : doit-il craindre de perdre en crédibilité pour avoir pris part à une concertation politique ?
CWO
Politique: “Je vois beaucoup de gens bouger à travers le Gabon, mais ils ne progressent pas”, dixit JO Dioumy Moubassango
L’ancien porte-parole du Parti démocratique gabonais (PDG), Jo Dioumy Moubassango a, dans un tweet, extériorisé sa pensée quant-à l’évolution du Gabon et celle de certains compatriotes au quotidien. Pour lui, beaucoup bougent, mais n’évoluent malheureusement pas, et préfèrent la communication politique, qui se rapproche beaucoup plus de la propagande, que d’œuvrer pour le bien-être des populations.
Après sa démission du Parti démocratique gabonais (PDG), il y a des mois en arrière, Jo Dioumy Moubassango se sert de jour en jour des réseaux sociaux pour mettre sur la place publique son ressenti et son analyse par rapport à l’évolution ou non du Gabon.
C’est le cas pour sa récente sortie sur tweeter.
En effet, hier dimanche 26 février 2023, l’ex porte-parole du PDG a partagé au public son regard, sinon son analyse, sur la situation de certains compatriotes, mais aussi de leur mode opératoire dans domaine politique.
Pour cet ancien porte-voix du parti d’Ali Bongo Ondimba, beaucoup de compatriotes confondent bouger et progresser. Aussi, pense-t-il qu’au Gabon, faire de la propagande politique compte beaucoup plus pour certains compatriotes, que les résultats en faveur des populations, que devraient produire leur travail et leurs actions sur le terrain.
“Il y a une énorme différence entre bouger et progresser. Je vois beaucoup de gens bouger à travers le Gabon, mais ils ne progressent pas. Les résultats en faveur de nos compatriotes comptent, encore mieux que la communication politique, proche de la propagande », a-t-il indiqué sur son compte twitter, hier dimanche 26 février 2023.
Ainsi donc, au regard des conditions difficiles actuelles, dans lesquelles vivent plusieurs compatriotes, ces propos de Jo Dioumy Moubassango pourraient bien se comprendre. Surtout si on tient compte des grosses publicités diffusées par plusieurs médias proches du pouvoir, indiquant qu’au Gabon, la vie est toujours rose pour toutes les couches sociales, alors que la réalité est tout autre chose.
CWO
Arrivée du Président français à Libreville : il n’y a pas de rencontre prévue entre Emmanuel Macron et l’opposition gabonaise
Alors que le Président français, Emmanuel Macron, est attendu à Libreville pour le “On Forest Summit” du 1er au 2 mars prochain, des rumeurs courent les rues sur une éventuelle rencontre entre lui et l’opposition gabonaise. Des bruits de couloirs qui ont été écartés par les conseillers Afrique et technique aux Affaires globales, Franck Paris et Josué.
Si plusieurs leaders de l’opposition gabonaise voyaient cette arrivée d’Emmanuel Macron à Libreville comme une aubaine, donnant lieu à une rencontre, qui leur permettrait d’échanger sans tabou avec le Président français, de l’autre côté de l’Elysée, les choses ne sont pas perçues du même œil.
En effet, lors d’un échange téléphonique avec la presse, les conseillers Afrique et technique aux Affaires globales, Franck Paris et Josué Serres, ont déclaré qu’aucune possibilité de rencontre entre l’opposition gabonaise et le président français, Emmanuel Macron n’a été prévue à ce jour.
“Il n’est pas prévu que le Président rencontre l’opposition”, ont-ils indiqué lors de ladite conférence téléphonique, tenue le 24 février 2023.
Ainsi, pour une certaine opinion gabonaise, cette arrivée du président français en terre gabonaise est décrite comme un soutien de la France au pouvoir de Libreville, en général, et en particulier, au président Ali Bongo Ondimba, qui avait vu sa dernière élection être contestée par certains compatriotes de l’opposition et même, de la société civile.
Affaire à suivre
Clôture de la Concertation politique: les principaux points sur lesquels s’est accordée la classe politique gabonaise
Tenue durant 10 jours à Libreville, du 13 au 23 février 2023, la Concertation politique, entre l’opposition et la majorité, pour l’organisation des élections aux lendemains apaisés au Gabon, a été clôturée aujourd’hui par le président de la République, Ali Bongo Ondimba. La suite de cet élément de presse est un condensé, que vous livre la rédaction d’Ethique Média Gabon, des principaux points abordés et retenus au sortir de celle-ci.
Au nombre des résolutions issues de la Concertation politique, qui a pris fin ce jeudi 23 février 2023, on compte, entre autres, les points suivants :
* L’adoption du scrutin à un tour pour toutes les élections politiques ;
* La désignation des membres des Bureaux des Conseils locaux à la proportionnelle, en cohérence avec l’élection des Conseillers locaux ;
* Le passage de 18 ans à 30 ans: âge d’éligibilité pour le Président de la République ;
* Le passage de 40 ans à 35 ans: âge d’éligibilité pour les Sénateurs ;
* Le passage de vingt millions (20.000.000 FCFA) à dix millions (10.000.000 FCFA) pour la caution de candidature à l’élection présidentielle ;
* Le passage de cinq cent mille (500.000. FCFA) à trois cent cinquante mille (350.000 FCFA) pour la caution de candidature aux législatives et sénatoriales ;
* Le passage de trois cents cinquante mille (350.000 FCFA) à deux cents cinquante mille (250.000 FCFA) pour la caution de candidature aux élections locales ;
* La nomination des Sénateurs par le Président de la République, de manière équitable entre les deux camps politiques ;
* Le passage du délai d’enrôlement de 45 à 30 jours ;
* L’accord de principe sur l’inscription des primo-électeurs en tous lieux du territoire national ;
* L’accord sur l’achèvement du chantier de l’introduction de la biométrie dans le processus électoral ;
* L’accord de principe sur l’examen des mesures d’apaisement.
La rédaction
Élections présidentielles : le peuple gabonais, sur le point d’être subtilement écarté du vote
La restriction de certains droits fondamentaux du peuple gabonais serait au centre des échanges à la Concertation nationale, qui se tient depuis quelques jours à Libreville, au Gabon. Le droit de voter le président de la République pourrait bientôt lui être retiré, au profit des parlementaires, selon l’information partagée par l’analyste politique et économique, Mays Mouissi.

Enfin, l’une des motivations des partis politiques de la majorité, cachées derrière l’organisation de la Concertation nationale, aurait été dévoilée.
En effet, selon le poste tweeter de Mays Mouissi, l’analyste politique et économique, le Premier ministre chef du gouvernement, Alain Claude Bilie-By-Nzé, par ailleurs membre de la délégation des partis de la majorité, aurait proposé hier mardi 21 février 2023, avec le soutien de son bord politique et de ses alliés, de retirer aux citoyens le droit d’élire le président de la République, pour en concéder l’exclusivité aux élus nationaux. Notamment, les députés et les sénateurs.
C’est la Concertation nationale, qui se tient depuis un moment entre les acteurs politiques du Gabon, qui aurait servi de cadre au pouvoir en place pour faire cette proposition, qu’il légitimerait par l’envie de faire des réserves économiqued à l’État. Car, ce n’est un secret pour personne, les élections au Gabon s’organisent à coût des milliards de francs CFA.
“Ce mardi, à la concertation, Bilie-By-Nze et sa délégation ont proposé que le président de la République soit désormais élu par les députés et les sénateurs”. “Ils soutiennent particulièrementqu’exclure les citoyens du vote serait une source d’économie pour l’État”, a-t-on pu lire du tweet de l’analyste politique et économique, Mays Mouissi.
Cependant, il convient de rappeler que, bien que se tenant actuellement dans l’optique de trouver des voies et moyens pour l’organisation des élections aux lendemains apaisés au Gabon, tout ce qui en découlera, donc de cette concertation nationale, n’aurait pas valeur de loi et, par conséquent, ne serait forcément pas applicable.
Toutefois, à en croire ce qui se dit actuellement par certains compatriotes, le peuple gabonais serait attentif à tout ce qui se ferait autour des échanges électorales et, attendrait de connaître l’issue de cette proposition faite par les tenants du pouvoir de Libreville.
Diplomatie : le président de la République du Niger, Mohamed Bazoum séjourne à Libreville depuis hier lundi 20 février 2023
Mohamed Bazoum, président de la République du Niger, séjourne sur le territoire gabonais depuis hier lundi 20 février 2023. En visite de travail et d’amitié, il sera reçu aujourd’hui mardi 22 février 2023, par son homologue gabonais, Ali Bongo Ondimba.
Examiner les questions bilatérales, régionales, continentales et les sujets internationaux de l’heure, à l’instar des questions de paix et de sécurité, de la lutte contre les changements climatiques et de la protection de l’environnement, sont les principaux objectifs de la présence de Mohamed Bazoum, le président de la République du Niger, au Gabon.
Cette visite de 48 h, prendra fin aujourd’hui mardi 21 février 2023, après le tête-à-tête prévu dans quelques heures, avec son homologue gabonais Ali Bongo Ondimba, au Palais du bord de mer.
Toutefois, faut-il le rappeler, le Gabon et le Niger, c’est plusieurs décennies d’amitié, et c’est plus de 13 000 nigériens qui vivent au Gabon où ils mènent des activités économiques, sociales et culturelles.
CWO
PDG : Axel Jesson Denis Ayenoue appelle les Secrétaires fédéraux à se réinventer et à poursuivre la mobilisation autour d’Ali Bongo Ondimba
Axel Jesson Denis Ayenoue, le Délégué national en charge des fédérations de l’étranger, appelle ses camarades Secrétaires fédéraux du parti démocratique gabonais(PDG) à la créativité et à la poursuite de la mobilisation dans leurs fédérations, autour d’Ali Bongo Ondimba. Une invite qui leur a été faite la semaine écoulée lors d’une réunion tenue entre lui et les fédérations de l’étranger par visioconférence.

C’est dans l’optique de faire gagner, sans bavure, Ali Bongo Ondimba à la prochaine élection présidentielle, qu’ Axel Jesson Denis Ayenoue, en sa qualité de Délégué national en charge des fédérations de l’étranger, a invité l’ensemble des secrétaires généraux de l’étranger à penser à mettre en place des activités créatives, et poursuivre la mobilisation des militants de leurs fédérations respectives, pour maintenir l’équilibre et espérer assurer une victoire clash et sans faille au distingué camarade président du PDG, Ali Bongo Ondimba, lors de la présidentielle de cette année 2023.
C’est donc dans ce sens que, prenant la parole au nom de l’ensemble des Fédéraux de l’étranger, le camarade Fred Maissa de la fédération de France, a partagé à leur interlocuteur l’ensemble des difficultés auxquelles font-ils face.
Aussi, a-t-il tenu à réaffirmer au Délégué national en charge des fédérations de l’étranger sa volonté et celle des autres secrétaires Fédéraux de l’étranger à prendre part au prochain 12 mars du PDG, et leurs sincères détermination et engagement à faire gagner Ali Bongo Ondimba dans leurs fédérations respectives.
Cependant, étant impatiemment en attente de la nomination et confirmation des uns et des autres à certains postes statutaires du parti, Axel Jesson Denis Ayenoue a invité ses interlocuteurs, à la réunion par visioconférence, à être patients, disciplinés, mais surtout créatifs pour maintenir le cap et la mobilisation dans leurs circonscriptions politiques.
Ainsi, au sortir de cet échange qui, bien qu’à distance, a eu le mérite de réunir plus d’un statutaire du Parti, la réélection d’ Ali Bongo Ondimba est restée la chose la mieux partagée par tous les participants.
UNO