Musique: Danger production fait son grand retour au Gabon
La danger production fait son retour dans le monde du show biz gabonais. C’est par le biais d’une conférence de presse que le retour de cette mythique boîte de production, “Danger Production”, dans l’univers culturel gabonais a été annoncé le samedi 9 décembre 2022.
La conférence de presse annonçant le retour du label de production musicale, Danger production, s’est tenue le samedi dernier dans la commune d’Akanda.
A cette conférence de presse, à laquelle étaient invités aussi bien les hommes de médias que les artistes tels que FANG the Goldman et le groupe Kifra’l, il était question, dans un premier temps, de présenter ce qu’est aujourd’hui Danger Production(DP).
De ce fait, le manager général de la structure, Delgado, arrivé expressément de la Côte d’Ivoire pour l’occasion, a présenté l’aspect international du label.
En effet, la Danger production est installée aussi bien aux États-Unis (Las Vegas), en Côte d’Ivoire, qu’au Nigeria et au Gabon. Ce qui fait d’elle une boîte multinationale.
Parmi les nombreuses mutations du Label, en plus de son internationalisation, il y’a l’ouverture d’une branche dédié au Booking. Celle-ci a pour mission de trouver pour des artistes des scènes et autres possibilités à l’international.
C’est justement dans ce sens, que Danger Production œuvre avec l’artiste Yaya Vichenzo dans le cadre de sa tournée qui le mène successivement aux Etats Unis, en Côte d’Ivoire et, prochainement au Sénégal et en Afrique du Sud.
Cependant, sans vouloir s’inscrire en correcteur de l’univers Hip-hop actuel au Gabon, Danger Production se propose d’accompagner les artistes à travers la “D.P. académie”. Il s’agit notamment d’une structure de formation qui fera, dans certains cas, office d’antichambre de la maison de production. Elle aura pour but de former les artistes dans les domaines du chant et de la prestance; affiner leurs styles, et jouer d’un instrument.
En définitive, Danger Production se présente comme une porte ouverte vers l’international avec le désir de ne pas vendre que des artistes, mais aussi et surtout la culture gabonaise.
CWO
