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Justice - Éthique Média Gabon

Justice

Justice: Brice Laccruche Alihanga désormais hors des murs de la prison centrale de Libreville

Justice: Brice Laccruche Alihanga désormais hors des murs de la prison centrale de Libreville

Brice Laccruche Alihanga, l’ancien tout puissant Directeur de cabinet de l’ex-président de la République Ali Bongo Ondimba, séjourne désormais loin des murs de la prison centrale de Libreville. Il a été libéré hier, vendredi 20 octobre 2023 au soir, après avoir passé 4 années en privation de liberté au Gros bouquet. Une libération qui intervient près d’une semaine après son face à face judiciaire avec Sylvia Bongo Ondimba, l’ex première dame du Gabon.

En effet, président de l’Association des jeunes émergents volontaires(AJEV) encore appelée “la vague bleue”, et ancien Directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba, ex-président de la République gabonaise, Brice Laccruche Alihanga est enfin libre. Depuis hier soir, il profite de la chaleur de sa famille, de laquelle a-t-il été privée des années durant.

Inculpé en 2019 pour détournement des un fonds publics, faux et usage de faux, entre autres, celui que les ajeviens et bien d’autres appelaient affectueusement BLA, va pouvoir suivre des soins médicaux et se reconstruire, au regard de la dégradation actuelle de son état de santé, dûe aux mauvaises conditions de son séjour dans les cellules de la prison centrale de Libreville.

Cependant, il faut rappeler qu’en 2019, lorsque soufflait le vent des arrestations de plusieurs cadres politiques et administratifs du pays, Brice Laccruche Alihanga en avait fait les frais. Avec lui, ses lieutenants de l’AJEV, dont Justin Ndounangoy, Patrichi Tanasa, Grégory Laccruche Alihanga, Tony Ondo Mba, entre autres.

Ainsi, libre après son frère cadet, Grégory Laccruche Alihanga, et Justin Ndounangoy, la libération de BLA pourrait se redonner une lueur d’espoir à ses anciens compagnons de l’AJEV, qui pourraient, eux aussi, recouvrer leur liberté.

Justice : l’imam Ismaël Océni Ossa convoqué au B2 ce 19 octobre 2023, la famille va-t-elle s’agrandir au Gros bouquet ?

Justice : l’imam Ismaël Océni Ossa convoqué au B2 ce 19 octobre 2023, la famille va-t-elle s’agrandir au Gros bouquet ?

Ismaël Océni Ossa, ancien président du conseil supérieur des affaires islamiques du Gabon(CSAIG) est attendu à la Direction générale des contres ingérences et de la sécurité militaire(DGCISM). Il devra donc s’y rendre demain, jeudi 19 octobre 2023, pour répondre à une convocation qui lui est destinée. Convocation émise par la Direction des contres ingérences (DCI) le 16 octobre dernier, sans faire mention des mobiles qui la sous-tendent.

Depuis le 30 août, au soir des élections générales au Gabon, un vent des arrestations avait commencé à souffler sur le pays sous l’impulsion des nouvelles autorités militaires à sa tête. Des arrestations qui ont conduits deux fils Océni, membres de la “Young team” de Noureddine Bongo Valentin, à la prison centrale de Libreville, notamment Abdoul Océni et Mohamed Aliou Saliou.

Après l’arrestation récemment de l’ex-première dame du Gabon, Mme. Sylvia Bongo Ondimba, le procureur de la République, près du tribunal de première instance de Libreville, annonçait la poursuite des enquêtes et d’autres possibles arrestations.

Ce serait sans doute dans la poursuite des enquêtes autour des différents cercles d’influence sous l’ère Ali Bongo Ondimba et les siens, que le désormais ex-président du Conseil supérieur des affaires islamiques du Gabon(CSAIG) est convoqué à la Direction des contres ingérences (DCI), encore appelée B2.

Ce jeudi 19 octobre 2023 dès 9h, il devra donc s’y rentre pour comprendre les mobiles de sa convocation, qui ne lui ont d’ailleurs pas été notifiés dans ladite convocation à se rendre dans les locaux du B2.

Cependant, en tant qu’imam de la grande mosquée de Libreville et président du Conseil supérieur des affaires islamiques du Gabon qu’il a été, on peut bien imaginer l’influence qu’il aurait eu dans le cercle restreint de prise des décisions d’Ali Bongo Ondimba, au point de parachuter un de ses fils (Mohamed Aliou Saliou) à la Direction de cabinet adjoint du président de la République.

Aussi, on se souviendra qu’il ya quelques mois en arrière, Ismaël Océni Ossa avait enflammé la toile avec une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux, dans laquelle il distribuait sans compter des billets de banque aux femmes de la communauté béninoise au cours du fête. Dénoncée par plus d’un gabonais, l’affaire était passée sous silence, au regard de la proximité de l’homme avec l’ancien président Ali Bongo Ondimba.

Cependant, le pays étant aujourd’hui sous une nouvelle ère, Ismaël Océni Ossa va-t-il agrandir sa famille en prison en rejoignant ses fils au Gros bouquet? Dans tous les cas, son passage au B2, demain jeudi 19 octobre 2023 à 9h, nous en dira plus sur les raisons de sa convocation et la suite.

Affaire BR SARL : le collectif des épargnants sollicite du Président de Transition, un appui diplomatique et sécuritaire pour la dernière audience au Tchad

Affaire BR SARL : le collectif des épargnants sollicite du Président de Transition, un appui diplomatique et sécuritaire pour la dernière audience au Tchad

Le collectif des épargnants de la société le Bâtisseur des richesses (BR SARL), représenté par le président du Congrès des agents publics parapublics et privés de l’Etat (Cappe), a tenu une conférence de presse ce samedi 30 septembre 2023. Un échange avec la presse au cours duquel ces épargnants abusés de l’ex BR SARL ont, par la voix du président de Cappe Emmanuel Mve Mba, sollicité un accompagnement diplomatique et sécuritaire du président de la Transition, le Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguema, pour la dernière audience prévue se tenir au Tchad dans les toute prochains jours.

Le collectif des épargnants de BR SARL porté par Emmanuel Mve Mba, président du Congrès des agents publics parapublics et privés de l’Etat (Cappe), est déterminé à aller jusqu’au bout pour obtenir gain de cause dans cette affaire d’escroquerie financière. Une escroquerie à grande échelle qui aurait été facilitée par les autorités de l’ancien régime Bongo-PDG, déchu le 30 août 2023.

En effet, ce samedi 30 septembre 2023, les épargnants floués de BR SARL se sont réunis au siège du Cappe pour échanger sur la question liée à la toute prochaine, sinon, dernière audience qui aura lieu à Ndjamena au Tchad. Une rencontre durant laquelle leur porte voix, Emmanuel Mve Mba, a indiqué que le collectif se mettait à la disposition des autorités de la Transition pour des éventuelles enquêtes sur cette supercherie savamment orchestrée, afin de rétablir la vérité et faire en sorte que ceux qui se seront rendus coupables et leurs complices répondent de leurs actes devants les juridictions compétentes.

Avec l’ arrivée au pouvoir des militaires, rassemblés au sein du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI), Emmanuel Mve Mba voit une occasion très intéressante pour redonner de l’espoir aux 18.000 compatriotes dont l’argent a été dérobé dans cette affaire. En ce sens, il en appelle à l’intervention du Président de la Transition, Chef de l’État.

“Emmanuel Mve Mba, président du Cappe, et porté partie civile dans cette affaire, sollicite respectueusement l’intervention personnelle du président de la République Chef de l’État, à l’effet du remboursement des 18.000 épargnants Gabonais, qui s’élève à 32 milliards de francs CFA et 17 milliards en dommage et intérêt, et de l’ouverture d’une enquête et l’arrestation immédiate de tous les présumés complices qui auraient œuvré pour cette vaste escroquerie gouvernementale », a-t-il déclaré avant de revenir sur la dernière audience prévue se tenir à Ndjamena au Tchad d’ici peu.

Celle-ci devrait donc donner le dernier verdict de cette affaire d’escroquerie. D’où la sollicitation du collectif des épargnants, par la voix du Président Emmanuel Mve Mba, de bénéficier d’un appui diplomatique et sécuritaire de Brice Clotaire Oligui Nguema, president de la Transition, Chef de l’État.

Ainsi, “le Cappe informe, en définitive, le Président de la Transition, Chef de l’État, Son Excellence Brice Clotaire Oligui Nguema, que la Cour de justice de la CEMAC vient de fixer la dernière audience en vue de statuer définitivement sur cette affaire d’escroquerie gouvernementale dans les toutes prochains jours. Le Cappe et le bureau de Noé sollicitent du Gouvernement de la Transition un appui diplomatique et sécuritaire, afin que la délégation Gabonaise puisse se rendre sereinement à Ndjamena et ramener l’ordonnance de paiement attendue par les 18.000 épargnants Gabonais floués par un gouvernement des imposteurs et escrocs », a conclu Emmanuel Mve Mba.

Toutefois, rappelons que désormais les regards de ces 18.000 épargnants volés sans aucune pitié, et dont certains ont perdu la vie laissant dernier eux des familles affaiblies sans aucun soutien, sont braqués vers les autorités de la Transition au Gabon, qui prônent pour la dignité des Gabonais et voudraient lutter contre la corruption et l’impunité.

Construction du nouveau marché de Franceville : Abdoul Houssein Moussavou écroué pour surfacturation et obtention frauduleuse du marché 

Construction du nouveau marché de Franceville : Abdoul Houssein Moussavou écroué pour surfacturation et obtention frauduleuse du marché 

Depuis l’arrivée au pouvoir du Général Brice Clotaire Oligui Nguema, le 30 août dernier, pour gérer la Transition, plusieurs dossiers, faussement gérés au temps du Président déchu, Ali Bongo Ondimba ne cessent de faire surface. C’est le cas de l’affaire Abdoul Houssein Moussavou, qui séjourne depuis quelques jours à la prison centrale de Libreville, pour avoir frauduleusement obtenu le marché de construction du nouveau marché de potos à Franceville, avec une surfacturation de près de 3 milliards de francs CFA.

Le nouveau marché de potos, à Franceville dans la province du Haut-Ogooué, demeure jusqu’à ce jour en chantier. Il n’a toujours pas encore été livré malgré la reception et la remise des clés aux femmes commerçantes par l’ancien Président Ali Bongo Ondimba, lors de sa dernière tournée républicaine, étape du Haut-Ogooué.

Pour sa construction, la passation du marché aurait répondu au principe du gré à gré entre “copains et coquins”, sous la facilitation de Yan Ngoulou, l’ancien “tout puissant” Directeur de cabinet du Chargé des affaires présidentielles, Noureddine Bongo Valentin, par ailleurs fils de l’ex président de la République Ali Bongo Ondimba.

Dans une magouille bien orchestrée, c’est à l’opérateur économique Abdoul Houssein Moussavou que le marché avait été attribué, malgré les offres concurrentielles de plus d’une entreprise expérimentée, qui se serait proposé de réaliser le même chantier pour une enveloppe d’entre 800 à 900 Millions de francs CFA.

Un choix qui laisse clairement entrevoir une machination entre amis pour se sucrer sur le dos de l’État, grâce à une facturation exorbitante du marché. Car, il semble très difficile de comprendre qu’un tel marché ait pu être attribué à une entreprise moins expérimentée, mais plus cher, au détriment d’autres entreprises mieux côtés et peu coûteuses, alors que celà aurait permis au pays de faire des économies.

Rappelons que pour ce marché, Abdoul Houssein Moussavou, le désormais locataire de la Prison centrale de Libreville aux côtés de deux anciens ministres d’Ali Bongo Ondimba depuis la semaine dernière, aurait encaissé près de 4 milliards de nos francs, alors que ses concurrents en demandaient moins, donc pas plus d’un seul milliard.

Justice : Noureddin Bongo Valentin placé sous mandat de dépôt à la prison centrale de Libreville

Justice : Noureddin Bongo Valentin placé sous mandat de dépôt à la prison centrale de Libreville

Noureddin Bongo Valentin, fils de l’ancien président de la République Ali Bongo Ondimba, a été placé sous mandat de dépôt hier, mardi 19 septembre 2023. Poursuivis pour les mêmes chefs d’accusations, plusieurs de ses anciens collaborateurs et lui ont passé leur première nuit à la maison d’arrêt de Libreville.

Interpellés le 30 août dernier dans la foulée du coup de libération du Gabon, qui a renversé l’ancien Président Ali Bongo Ondimba, et présentés devant le procureur de la République qui les a placés en garde à vue pour nécessité d’enquête, plusieurs hauts cadres de la République ont été placés sous mandat de dépôt à la prison centrale de Libreville.

Il s’agit de Noureddin Valentin Bongo, ancien Coordinateur des affaires présidentielles, Ian Ghislain Ngoulou, ancien Directeur de cabinet du CGAP, Mohamed Aliou Saliou, ancien Directeur de cabinet adjoint d’Ali Bongo, Jessye Ella Ekogha, ancien Conseiller spécial et porte-parole de la présidence de la République et Abdoul Oceni Ossa.

Selon le communiqué du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI), qui avait annoncé leur arrestation, ces derniers seraient poursuivis pour haute trahison contre les institutions de l’État, détournement massif des deniers publics, malversations financières internationales en bandes organisées, faux et usage de faux, falsification de la signature du président de la République, corruption active, trafic de stupéfiants.

C’est donc seulement hier, mardi 19 septembre 2023, qu’ils ont rejoint sans famille. Une information partagée par notre confrère le quotidien l’Union.

Rappelons que, selon les vidéos qui ont récemment défrayer la chronique et fait le tour des réseaux sociaux, certains de ces désormais locataires de la Prison centrale de Libreville avaient été pris avec des valises d’argent à domicile. Une récolte financière qui serait estimée à plusieurs milliards de francs CFA.

Cependant, après la “Young team”, appellation donnée à Noureddine Bongo Valentin et les siens, qui seront les prochains à rallier le Gros bouquet pour des faits de détournement des dédiés publics et autres?

Adoption du projet de loi portant statut particulier des magistrats : vers un retour des audiences publiques ?

Adoption du projet de loi portant statut particulier des magistrats : vers un retour des audiences publiques ?

Alors qu’ils étaient en grève depuis plusieurs mois déjà, revendiquant l’adoption du projet de loi pour la reconnaissance de leur statut particulier, les magistrats du Gabon ont, hier jeudi 29 juin 2023, reçu une bonne nouvelle du parlement. L’une de leurs plus grosses revendications, concernant le statut particulier du magistrat au Gabon, a été votée par le parlement gabonais.

Bonne nouvelle pour l’appareil judiciaire du Gabon. Hier jeudi 29 juin 2023, le parlement a voté à l’unanimité le projet de loi portant statut particulier du magistrat en République gabonaise.

Un statut fortement attendu par les magistrats, et qui fessait partir des principales raisons de leur mouvement de grève, lancé il y a plusieurs mois en arrière. Rappelons d’ailleurs que le lancement de ce mouvement d’humeur avait conduit à la paralysie de l’appareil judiciaire avec à la clé, la suspension des audiences publiques sur l’ensemble du territoire national.

L’adoption de ce projet de loi apparaît donc comme une véritable victoire pour ces agents de l’État qui, désormais, bénéficieront d’un certain nombre d’avantages dûs à la particularité de leur profession, comme l’a indiqué le ministre gabonais de la Justice Erlyne Antonela Ndembet Damas.

“… la rémunération se compose de la solde de base dont le montant résulte du produit de l’indice de chaque Magistrat par la valeur du point d’indice, conformément aux textes en vigueur et aux accessoires de solde”, disait-elle.

À cette rémunération se greffe le costume d’audience, la valise judicature, le logement d’astreinte ou l’indemnité de logement, le véhicule de fonction ou de service pour les chefs de juridiction, l’octroi de passeport diplomatique et de service, l’autorisation de port d’arme de poing.

Aussi, on compte parmi les avantages liés au statut particulier du magistrat gabonais, la gratuité intégrale des soins de santé dans les établissements sanitaires publics, y compris pour les ayant-droits, la prise en charge des évacuations sanitaires et la prise en charge par l’État des frais funéraires du magistrat en activité et de ses ayant-droits.

Cependant, bien que le parlement ait adopté ce projet de loi en faveur des magistrats, il ya lieu de dire que ces derniers devraient attendre l’application de celui-ci avant de se rejoindre. Car, au Gabon, il existe un réel fossé entre les annonces et l’application des textes votés et lois votés.

Affaire de kidnapping à la CNSS: André Patrick Roponat écarte la piste de viol

Affaire de kidnapping à la CNSS: André Patrick Roponat écarte la piste de viol

Alors que son silence sur l’affaire de kidnapping et “viol” sur la personne d’Alima, agent à la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), inquiétait déjà certains, André Patrick Roponat, procureur de la République a dévoilé les premiers éléments de l’enquête lors d’un point de presse tenu samedi 26 novembre 2023. Des informations qui écartent la piste de “viol” évoqué par les syndicalistes de cette administration.

L’affaire en rapport avec l’agression d‘Alima, agent à la CNSS de Libreville est désormais entre les mains de la justice gabonaise.

Le samedi 26 novembre dernier, le procureur de la République, André Patrick Roponat a tenu un point de presse pour rendre public les premiers éléments de l’enquête menée par la police judiciaire.

En effet, André Patrick Roponat a indiqué que la victime n’avait pas été violée comme l’avaient souligné les syndicalistes de la CNSS.

Cependant, il en ressort qu’elle a été intimidée et menacée. “… Il résulte des premiers éléments de l’enquête que la victime a subi des intimidations et des menaces sans pour autant subir des violences physiques ou des abus sexuels », a annoncé André Patrick Roponat, le procureur de la République, avant de rassurer le public quant-à la continuité de cette enquête, jusqu’à l’arrestation des auteurs de ces actes clairement punis par la loi.

CWO

Gabon: Il se fait arrêter avec des cachets falsifiés dont celui de Noël MATHA et ceux des 9 gouverneurs

Gabon: Il se fait arrêter avec des cachets falsifiés dont celui de Noël MATHA et ceux des 9 gouverneurs

Interpellé par les éléments de la Direction Générale des Recherches (DGR), De Nacimiento Hermann, de son identité à l’état-civil centrafricain, a été mis aux arrêts pour faux usage de faux. À son arrestation, plusieurs cachets falsifiés ont été retrouvés, dont celui du ministre de l’Intérieur, Lambert Noël Matha, ceux des gouverneurs des 9 provinces du Gabon, et bien d’autres documents.

Image d’illustration pour un ensemble de documents administratifs variés

Ancien étudiant très vite converti en faussaire en devenant spécialiste du faux et usage de faux, grâce à ses performances et ses qualités dans la maîtrise des logiciels d’infographie, Bandinga Ibouanga Hermann, de sa faisse identité gabonaise; De Nacimiento Herman, de sa vraie identité centrafricaine, la trentaine révolue, a été arrêté en début de semaine par les éléments de la DGR pour de raisons de faux et usage de faux.

Ainsi, interrogé interprétation, le faussement nommé Bandinga Ibouanga Hermann, de sa nationalité gabonaise faussement acquise grâce à sa maîtrise de l’outil informatique, a avoué son délit, non sans le justifier par des problèmes et des difficultés financières qui l’émailleraient, lui et sa petite famille. Notamment sa femme et leurs deux enfants.

“... J’avais conscience que tout ce que je faisais était mal, au regard de la loi. Mais ce sont les problèmes et les difficultés financières qui m’ont poussé à faire ça”, a-t-il déclaré, regrettant tardivement ses actes.

C’est donc agissant avec une casquette multi-facettes que ce dernier, ayant en sa possession plusieurs faux cachets numérisés, dont ceux de la Police, du Tribunal, de la Direction générale du Transport terrestre(DGTT), des six mairies d’arrondissement de Libreville, des neuf gouverneurs du Gabon et ceux de certains ministres telque celui de Lambert Noël Matha, que Don De Nacimiento avait réussi à délivrer à ses clients une variété de faux documents.

Parmi ceux-ci, on compte notamment des récépissés des CNI, des permis de conduire, des passeports, des casiers judiciaires, des diplômes des instituts et grandes écoles du Gabon, Sénégal et du Cameroun, etc.

Malheureusement pour lui, c’est une affaire de délivrance d’un visa pour les États Unies à une cliente pour plus de 3.000.000 de francs CFA qui aurait mal tourné et finira par mettre fin à tous ses actes de falsification de différents documents administratifs en terre gabonaise.

Ne dit-on pas que “99 jours pour le voleur et un seul jour pour le propriétaire”? De Nacimiento Herman était donc là, à son 100e jour. Il est désormais dans les mailles du filet et devra répondre de ses actes devant la loi.

UNO

[Justice] Affaire BR SARL et ses épargnants : le CAPPE se satisfait de sa première victoire

[Justice] Affaire BR SARL et ses épargnants : le CAPPE se satisfait de sa première victoire

En justice depuis plusieurs mois, notamment depuis le 1er février 2021, contre la COBAC et la CEMAC dans l’affaire BR SARL et ses épargnants, le Congrès des Agents Publics et Parapublics de l’État (CAPPE) exprime déjà sa partielle satisfaction pour sa première victoire, estimée à 60 %, dans cette affaire dont le jugement a lieu à la Cour de justice communautaire de la CEMAC sise au Tchad.

Les épargnants BR SARL venus nombreux au siège du CAPPE pour le compte rendu. RD. EMG

Rentrés de Ndjamena au Tchad, Emmanuel Mve MBA, le président du Congrès des agents publics et parapublics de l’État (CAPPE), et la délégation qui l’y accompagnait se sont réunis hier mercredi 16 novembre 2022 à Libreville, au siège du CAPPE, pour un compte-rendu à mi-parcours aux épargnants “escroqués” par le Bâtisseur des Richesses (BR SARL), ses responsables et ses actionnaires.

C’est donc fidèle à sa méthode de travail, qui consiste, entre autres, à toujours rendre compte de ce qui est fait, que le Président du CAPPE, de retour du Tchad accompagné de son conseil et ses alliés du Bureau de Noé, est revenu sur l’ensemble des procédures entamées par son équipe depuis le début de l’affaire BR SARL jusqu’à aujourd’hui.

À cet effet, a-t-il fait état de la saisine du Tribunal de première instance de Libreville; du Tribunal international du commerce de Genève; et de la Cours de justice communautaire de la CEMAC basée à Ndjamena au Tchad. Les deux premiers étant restées sans suite favorable, seule la saisine de la troisième instance citée semble pouvoir donner de l’espoir aux épargnants.

Ainsi, lors de cette imprimante rencontre, Emmanuel Mve MBA a, dans son discours de compte-rendu, fait savoir à l’assistance, majoritairement constituée des épargnants abusés de BR SARL, la principale raison de leur satisfaction.

En effet, selon les explications données, le CAPPE, qui représente les épargnants BR SARL dans l’affaire les opposant jusque là à la CEMAC et la COBAC, peut se satisfaire d’avoir déjà réussi à remporter la première partie du combat. Car, malgré les machinations qui auraient été orchestrées par la COBAC et l’organisation sous régionale dirigée par le Pr. Daniel Ona Ondo pour que la requête introduite par le CAPPE et son conseil n’ait pas de suite favorable, la Cour de justice communautaire de la CEMAC l’a quand-même déclarée recevable.

Cependant, recommandation a été faite à la représention des épargnants BR SARL, conduite par Emmanuel Mve MBA, de bien identifier son “escroc ” et bien se préparer pour un rebondissement ciblé. Car, la CEMAC et la COBAC ont été jugées non concernées par cette affaire pour n’avoir jamais délivré une quelconque autorisation d’exercer à BR SARL.

S’installant sur le territoire gabonais en 2011 avant de fermer ses portes en 2015, ce dernier n’aurait jamais sollicité d’agrément auprès de l’autorité monétaire. Par conséquent, son son implantation illégale au Gabon n’engagerait en rien ces institutions communautaires autrefois indexées par la plainte du CAPPE.

Ainsi, bien que déjà assez satisfait pour le succès que connaît actuellement leur requête, estimé à 60 % tel qu’annoncé par Emmanuel Mve MBA, le CAPPE et le Bureau de Noé sont attendus au Tchad le 30 novembre prochain, avec leur Conseil pour le dernier délibéré de cette affaire évaluée à des milliards de nos francs.

Vivement que ce 30 novembre 2022 soit le jour tant attendu par ces 18.000 investisseurs escroqués par le fameux bâtisseur des richesses et ses complices.

UNO

PK9: il sodomise un petit garçon de 7 ans après consommation d’alcool.

PK9: il sodomise un petit garçon de 7 ans après consommation d’alcool.

Le quartier Pk9 a été le théâtre d’une scène inhumaine. Un jeune homme, la vingtaine d’année révolue, a dans un “état d’ivresse”, sodomisé un gamin de 7 ans alors que ce dernier allait faire une course à la demande de son père.

C’est donc bien installé dans un bar qu’il aurait aperçu le gamin et serait allé vers lui pour commettre son malheureux acte.

Le fait s’est déroulé au point kilométrique 9, dit Pk9. Un jeune homme identifié comme Éric IBELA a été interpellé par les éléments de la brigade de gendarmerie du PK9 pour un acte de pédophilie.

En effet, il aurait abusé d’un gamin de 7 ans après avoir consommé une bonne dose d’alcool.

Selon les informations parvenues à notre rédaction, le mis en cause, notamment sieur IBELA, aurait avoué auprès des éléments de la brigade du Pk9, qu’il était assis au bar quand il a aperçu la victime passée. Ce dernier allait chez un des boutiquiers du quartier pour acheter un quart d’huile à la demande de son père.
je suis venu ici parce que j’ai pédé un petit garçon. Ce petit garçon, son père l’a envoyé payer le quart d’huile. J’étais assis dans un bar en train de boire.” Quand “j’ai vu le petit venir. J’ai interpellé le petit. Après interpellé le petit, je l’ai amené dans une maison inachevée. J’ai commencé à le déshabiller. Après le déshabiller, c’est là où je l’ai pénétré.” a-t-il avoué.

Des aveux qui laisseraient transparaître du regret, mais qui ne peuvent en aucun cas se justifier, au vu de la gravité de l’acte et du fait que cette pratique soit condamnable par la loi et va à l’encontre des mœurs gabonaises.

Toutefois, en attendant d’être présenté devant le parquet, l’accusé a été mis en garde à vue à la brigade de gendarmerie du PK 9, qui a d’ailleurs eu le mérite de le mettre hors d’état de nuire.

UNO